Remenabila movies
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Re: Remenabila movies
tena misy marina ve le remenabila sa resaka hampatorina vahoaka fotsiny e!!!
Fanja- Messages : 49
Date d'inscription : 29/11/2012
Remenabila movies
Finalement, point n’est plus besoin de faire ce à quoi on était tenté de faire, à savoir un « rewind » du film Remenabila, pour rappeler ce qui fut à l’origine de l’opération Tandroka tant décriée à l’heure actuelle. Les dahalo eux-mêmes se sont chargés de la tâche en faisant revivre en « live » le début de ce feuilleton qui n’est même pas encore arrivé à son terme. Au dernières nouvelles en effet, une horde de malaso - dont on ignore pour l’instant s’il s’agit de la même qui a sévit dans la partie Sud-est de l’île quelques mois auparavant - est en train de rééditer l’exploit de l’homme côté à 100 millions d’Ariary, mais plus à l’Ouest, dans une zone, bien évidemment, non encore sécurisée par une quelconque force mixte spéciale.
Et comme ce « remake » coïncide avec la décision de mettre sur pied une commission d’enquête sous l’égide des Nations unies pour s’enquérir sur terrain de la situation réelle en matière d’insécurité dans le Sud, on serait tenté d’inviter les enquêteurs à commencer d’abord leur investigations à Mahabo dans le Menabe où ils pourront visionner une séquence qu’ils ont irrémédiablement ratée. A savoir, l’enfer qu’a vécu la population de Betroka et de ses environs avant l’opération Tandroka et que les dahalo ont eu l’obligeance de rejouer à leur intention. S’ils ont l’estomac assez solide pour s’aventurer dans cette région qui n’a pour l’instant que quelques unités de quelques dizaines d’éléments en uniforme comme détachements de sécurité, ils seront témoins de ces scènes où des villageois préfèrent abandonner leur village et sacrifier leur cheptel bovin plutôt que d’avoir à affronter des gangs de malaso drogués et dopés par des gris-gris, prêts à torturer, violer et tuer, même si on ne leur oppose la moindre résistance. Pour rien au monde cependant, on n’ira pas jusqu’à souhaiter qu’ils soient également témoins d’autres massacres de militaires et de gendarmes, comme cela s’est passé à Iabohazo (district de Befotaka) et à Bekojoy Antanimaty (district de Betroka), respectivement les 09 juin et 07 septembre derniers. S’ils ne sont pas convaincus entretemps de la raison d’être de l’opération Tandroka, ils auront ensuite tout le loisir - au sens propre comme au figuré - de constater de visu ce qui prévaut à l’heure actuelle à Betroka pour se rendre compte par eux-mêmes si, au jour d’aujourd’hui, la population y est terrorisée ou au contraire se sent sécurisée et surtout, si un « génocide » aurait pu réellement y être perpétré. Autrement dit, il faut donner à ces émissaires des Nations Unies de voir le film « Remenabila » en 3D.
Et comme ce « remake » coïncide avec la décision de mettre sur pied une commission d’enquête sous l’égide des Nations unies pour s’enquérir sur terrain de la situation réelle en matière d’insécurité dans le Sud, on serait tenté d’inviter les enquêteurs à commencer d’abord leur investigations à Mahabo dans le Menabe où ils pourront visionner une séquence qu’ils ont irrémédiablement ratée. A savoir, l’enfer qu’a vécu la population de Betroka et de ses environs avant l’opération Tandroka et que les dahalo ont eu l’obligeance de rejouer à leur intention. S’ils ont l’estomac assez solide pour s’aventurer dans cette région qui n’a pour l’instant que quelques unités de quelques dizaines d’éléments en uniforme comme détachements de sécurité, ils seront témoins de ces scènes où des villageois préfèrent abandonner leur village et sacrifier leur cheptel bovin plutôt que d’avoir à affronter des gangs de malaso drogués et dopés par des gris-gris, prêts à torturer, violer et tuer, même si on ne leur oppose la moindre résistance. Pour rien au monde cependant, on n’ira pas jusqu’à souhaiter qu’ils soient également témoins d’autres massacres de militaires et de gendarmes, comme cela s’est passé à Iabohazo (district de Befotaka) et à Bekojoy Antanimaty (district de Betroka), respectivement les 09 juin et 07 septembre derniers. S’ils ne sont pas convaincus entretemps de la raison d’être de l’opération Tandroka, ils auront ensuite tout le loisir - au sens propre comme au figuré - de constater de visu ce qui prévaut à l’heure actuelle à Betroka pour se rendre compte par eux-mêmes si, au jour d’aujourd’hui, la population y est terrorisée ou au contraire se sent sécurisée et surtout, si un « génocide » aurait pu réellement y être perpétré. Autrement dit, il faut donner à ces émissaires des Nations Unies de voir le film « Remenabila » en 3D.
woodiii- Invité
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